Édito du maire
Jeunesse et proximité
Actions culturelles dans les écoles, programmes d’activités de qualité dans les centres aérés et les Teen Camp durant les vacances de la Toussaint, ateliers et animations à la bibliothèque et à l’ID Geek, Conseil municipal des minots, Fête des Sorcières et Halloween des commerçants, retransmission sur grand écran des matchs de l’équipe de France de rugby, Japennes Festival..., une fois de plus la jeunesse pennoise ne s’ennuiera pas en ce début d’automne ! Et ce n’est pas un hasard puisque améliorer le cadre de vie de TOUS les Pennois n’a jamais été un slogan politique, mais bien ce que nous essayons de faire au quotidien depuis que vous nous faites confiance. Les labels «Ville amie des enfants» et «Ville amie des aînés» qui ont été décernés à notre commune sont des symboles de la reconnaissance de notre engagement en direction de toutes les générations.
Et puisque je parlais un peu plus haut du Japennes Festival qui se déroulera en ce mois d’octobre à l’Idéethèque, je voudrais m’arrêter sur cet événement qui lui aussi est typique d’une autre de nos priorités puisqu’il propose des animations, pour les jeunes bien sûr mais plus largement pour l’ensemble des Pennois en y intégrant une dimension locale via l’accueil d’artistes et créateurs des Pennes-Mirabeau, de Marseille et de la région. En effet, la proximité est un choix fort qui se retrouve dans nombre de nos actions. Le mois dernier, le public a ainsi participé à la 3e édition d’un autre festival – Les Provençades – qui comme son nom l’indique met à l’honneur la culture locale à travers des auteurs, comédiens, musiciens, artisans et créateurs de notre région et même de notre commune. Et à propos de culture, je pense aussi aux compagnies de théâtre régionales que nous accueillons, depuis plusieurs années, en résidence afin qu’elles puissent créer leurs spectacles dans des conditions techniques optimales. Cette proximité se retrouve jusque dans les assiettes des enfants dans les restaurants scolaires et celles des séniors dans les foyers, car comme vous devez le savoir, ici, nous avons fait le choix de préparer les plats sur place à partir de produits de saisons et locaux, en particulier les fruits et légumes.
Et bien sûr, tout ceci sous le regard bienveillant de notre moulin surplombant notre commune et symbolisant, plus que tout, notre attachement indéfectible au patrimoine provençal.
Michel Amiel
Maire des Pennes-Mirabeau
100% Pour les Pennes-Mirabeau
«600000 euros de budget» selon Monsieur Fusone, «doublement du personnel» pour Monsieur Amaro... L’opposition use d’arguments farfelus pour attaquer le service Communication et à travers lui une équipe qui fait son travail avec sérieux dans le but d’informer tous les administrés, via différents médias auxquels les Pennois sont attachés : le magazine Le Pennois bien sûr, mais aussi les différents sites internet, les pages Facebook, l’application mobile, etc. sans parler des documents d’information : guides, flyers, affiches...
Ces mensonges de l’opposition sont indignes. En effet, alors que l’activité de ce service a augmenté, en raison notamment de la place prise par le numérique et l'ouverture de l'Idéethèque, le nombre de ses agents n’a pas doublé comme le prétend le groupe de Monsieur Amaro... Il a même baissé ! De même, quand en conseil municipal, Monsieur Fusone évoque un budget communication de 600000 euros, d’où sort-il cette somme bien éloignée de la réalité ?
Mentir aux Pennois, s’en prendre au personnel municipal dans le seul but de manipuler l’opinion n’est pas une attitude reluisante. D’autant que contrairement à ce que sous-entend souvent l’opposition, le maire et les élus de la majorité ne tiennent pas le stylo des agents du service Communication. Non, ce qui leur est demandé, c’est d’informer au quotidien les Pennois de l’actualité de leur commune. D’ailleurs, ces attaques gratuites nous inquiètent : si ces prétendants au poste de maire des Pennes-Mirabeau arrivaient à leurs fins, ils imposeraient certainement leurs vues au personnel municipal. C’est bien connu, on reproche souvent aux autres ce que nous ne voulons pas voir en nous-mêmes...
En espérant pour notre commune que leurs ambitions ne deviennent jamais réalité, nous, nous continuons de soutenir l’ensemble des agents municipaux qui font de leur mieux au service de tous les Pennois.
Contact :
Ensemble pour les Pennes-Mirabeau
Cette période de rentrée signifie aussi le retour des impôts. Les Pennois s’en sont rendus compte, ce retour est fracassant avec une hausse de la taxe foncière de près de 20%. C’est une surprise plutôt désagréable. M. le Maire et son adjoint aux finances tentent de nous persuader que c’est incontournable et pour le bien de la commune. Nous avons bien évidemment voté contre cette augmentation et même demandé la diminution de la part municipale pour amortir l’augmentation des bases locatives que l’état a opérées.
Nous ne comprenons pas pourquoi augmenter les impôts quand nous avons 15 millions d’euros d’excédent budgétaire. Peut-être est-ce pour améliorer le service public aux familles ? Non. Les tarifs de l’école municipale de musique ainsi que des activités périscolaires augmentent. Le QG de la Gavotte est fermé, ce qui permet d’économiser des dizaines de milliers d’euros tout en poussant à la rue des gamins qui perdent leurs activités du soir et weekend. Certains services municipaux sont même privatisés : une crèche, les travaux, l’entretien des espaces vert...
Peut- être est-ce pour améliorer nos infrastructures publiques ? Non plus. Le gymnase Monaco ferme faute d’entretien, expatriant certaines associations hors de la commune. Les trottoirs sont toujours impraticables. Le vélo reste un combat de tous les instants car nous n’avons toujours pas de piste cyclable.
Il faut donc chercher les raisons ailleurs et commencer à poser des questions. Pourquoi les constructions coutent elles si cher* sur les Pennes-Mirabeau ? Pourquoi la Mairie commandite 2 millions d’euros d’études auprès de « cabinets de conseil » sans aucune justification ?
* Pour l’exemple, la requalification de la Gavotte a déjà couté 2 fois plus que prévu au lancement du projet (13.6 millions contre 26 millions déjà dépensés).
Vos élus : Joëlle REYNAUD FIORILE, Cathia DELAVEAU,
Solange GORLIER LACROIX, Jean-Claude CABRAS,
Michel SCAMARONI et Romain AMARO
ensembleplpm.fr - 06 12 99 98 18
Préserver les Pennes-Mirabeau
TAXE FONCIERE + 12%. TOUS LES PENNOIS SONT TOUCHÉS. Les propriétaires, mais aussi les locataires. Les bailleurs vont répercuter cette hausse sur les loyers qui vont flamber.
Au niveau national, Macron a décidé : + 7% de la base de calcul de la taxe foncière en 2023. LA PLUS FORTE AUGMENTATION DEPUIS 37 ANS. 2024, ce sera pire. Il faut bien remplir les caisses de l’État (suppression de la taxe d’habitation, et le quoi qu’il en coûte). Au niveau local, les décisions étaient déjà prises par la Majorité municipale de M Amiel : +5% de hausse (qui s’ajoute au 7% de l’État). Notre opposition acharnée a été vaine.
Il faut combler 2 gouffres financiers. Requalification de la Gavotte (notamment le sens unique et le Rond- Point, aujourd’hui dénoncés par «l’opposition»). Nous avions été les seuls à ne pas voter POUR ce projet. Coût initial prévu 13,5M. A ce jour, 26M dépensés. Travaux inachevés.
Dépenses de fonctionnement de la Mairie ahurissantes, 15% plus élevées que la moyenne nationale ! On pouvait rêver à des améliorations des services publics avec ces nouvelles recettes fiscales. SÉCURITÉ (cambriolages, vandalisme), PROPRETÉ (décharges sauvages), RÉNOVATION des voies publiques (revêtement défoncé, trottoirs inexistants ou impraticables)... La réalité quotidienne des Pennois est à l’opposé. Pas de police de nuit, suppression de l’éclairage nocturne ou fermeture de la crèche de la Renardière.
Début 2021, La majorité de M Amiel a choisi de confier la nouvelle crèche à une structure privée, la Maison Bleue. Nous nous sommes BATTUS CONTRE. Nous avons fait des publications pour dénoncer cette décision laissant nos bébés entre les mains d’une crèche privée incontrôlable (et qui supprimait des postes d’employés municipaux qualifiés). Depuis quelques semaines, le scandale des crèches privées est national, comme l’a été celui des EPAD, ou des abattoirs. Mais la liste des labels de la ville est interminable «amie des enfants», «amie des seniors», «amie des animaux»... INCROYABLE.
Contact : Maximilien Fusone au 06 03 45 45 78
et par mail
Nous Pennois, écologiques, citoyens, solidaires
ÉCOLES ET RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE
La chaleur n’épargne pas nos enfants, il faut donc adapter nos écoles au réchauffement climatique pour protéger l’apprentissage et la vie en collectivité de nos «petits». La rentrée scolaire s’est effectuée sous des températures caniculaires et tout le monde a bien conscience que le réchauffement climatique a un impact significatif sur le bien-être des enfants dans les écoles.
La Mairie doit donc tout mettre en œuvre pour en atténuer les effets et créer un environnement scolaire favorable. De nombreux parents réclament la climatisation dans les classes. Ceci est une fausse bonne idée, car la climatisation contribue elle-même à renforcer le réchauffement climatique. Alors que faire ? Les solutions existent, et il faut les appliquer rapidement. La première priorité serait d’améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments scolaires en isolant les bâtiments, en installant des fenêtres à double vitrage et des toits verts pour réguler la température intérieure. La deuxième serait de débitûmer les cours et les rues autour des écoles dans le but de les végétaliser car ces espaces asphaltés et imperméables participent massivement l’effet d’îlot de chaleur. Planter des arbres et créer des zones vertes pour offrir de l'ombre et améliorer la qualité de l'air permettrait d’abaisser la température de 1 à 2 degrés.
En France seuls 14% des bâtiments scolaires sont aux normes BBC, montrons qu’aux Pennes Mirabeau la «ville des enfants» ceci devient une priorité et que 100% des structures qui accueillent les enfants deviennent des lieux de vie supportables. Quelques travaux ont déjà débuté dans ce sens mais il faut aller plus vite car les pics de chaleurs sont de plus en plus nombreux et cela aura nécessairement un impact sur le bien être des enfants et donc sur les apprentissages.
Rosy INAUDI
pour «Nous Pennois, écologistes, citoyens, solidaires»
